TEST - Atelier Rorona: The Alchemist of Arland

Notre histoire prend place dans une petite ville fortifiée nommée Arland. Cette ville, administrée par les chevaliers du château d'Arland, est une cité mi-médiévale, mi-moderne. C'est dans ce cadre que débute le scénario qui va tourner autour d'une jeune fille : Rorona.

Un beau jour, l'apparition inattendue d'une technologie inconnue nommée "les Machines" occasionna un bond du niveau technologique d'Arland qui passa d'une connaissance moyenâgeuse à une révolution industrielle pure et simple. La ville fortifiée réussit alors au fil des ans à se structurer et à évoluer dans le bon sens, grâce aux apports indéniables qu'amenaient ces fameuses machines. Ce progrès fulgurant permit à toute une population de mieux vivre et se soigner, ce qui ne manqua pas de faire rapidement de l'ombre à l'un des métiers les plus vieux et néanmoins des plus utiles : l'alchimie.

Comme toutes les villes du pays, Arland dispose depuis des lustres de son propre atelier d'alchimie qui, depuis l'apparition inopinée des machines, bat furieusement de l'aile. L'atelier est littéralement déserté, les commandes refluent à vue d'œil et l'activité de l'échoppe devient quasi-inexistante. Un matin, l'un des chevaliers du château d'Arland, en charge de l'administration de la ville, se présente à l'atelier d'alchimie et fait la connaissance d'une jeune fille pleine d'entrain mais légèrement anxieuse : Rorona. Disciple du maître en alchimie le plus laxiste du coin, Rorona apprend toute seule la nouvelle : Arland laisse un sursis de trois ans à l'atelier pour apporter la preuve de son utilité à la population locale. En cas d'échec, la petite boutique sera simplement fermée et mettra un terme à des années de pratique de l'alchimie au sein d'Arland.

Le maître de Rorona, Astrid (une femme donc), visiblement pas vraiment secouée par la nouvelle, ne trouve rien de mieux à faire que de confier l'échoppe à sa disciple qui en connaît autant sur l'alchimie que le videur de la boîte Macumba sur la physique quantique... C'est-à-dire : absolument rien.