Final Fantasy XIV : L'histoire d'Eorzea et la personnalisation des avatars

Le numéro de Famitsu de cette semaine est décidément plutôt riche en informations ! Après l'interview de Tetsuya Nomura nous donnant des infos sur les deux mystérieux projets, c'est au tour de Final Fantasy XIV d'avoir le droit à son lot de détails.

Commençons par la personnalisation des personnages. Comme d'habitude, nous pourrons choisir la couleur de la peau, des yeux, des lèvres et des cheveux, ainsi que l'intonation de la voix. La taille du torse ou de la poitrine pourra également être réglée suivant les envies de chacun, et nous pourrons même affubler nos avatars de cicatrices et de tatouages. Les images du magazine nous montrent des exemples de cette personnalisation sur des avatars Hyuran et Roegadyr.

Dans ce même magazine, Yaeko Sato, la scénariste du jeu, nous donne des détails sur l'histoire d'Eorzea.

Sato est à l'origine de l'histoire principale, mais de nombreuses "sous-histoires" ont été écrites par différents développeurs de Square Enix. La scénariste a d'abord imaginé le continent pendant que d'autre membres de l'équipe imaginaient un système de gameplay compatible avec ce dernier, puis a ensuite adapté ses histoires à ce nouveau monde. Malgré tout, elle a tout de même légèrement influencé l'architecture de certaines villes pour qu'elles collent avec les idées principales de son histoire.

Le prologue prend place dix ans avant le commencement du jeu. De puissants dieux, nommés Banshin en japonais, ont été invoqués sur Eorzea par des sauvages, des "Banzoku", qui usent des pouvoirs divins pour effrayer leurs ennemis. Dans le même temps, au nord-est, l'empire militaire de Garlemald utilise la technologie mécanique et la puissance des armes dans le but de contrôler le continent.

 
Sur la seconde image, l'arrière-plan nous dévoile des décors encore inédits

Dans ce monde qui oppose ces deux peuples bien différents, des aventuriers possèdent un pouvoir capable de changer le monde.

Les sauvages ont un physique très différent de celui des humains. D'après les images du magazine, il sont grands, ont des gros bras et un visage effrayant, et ressemblent à de vrais aliens. Le terme Banzoku regroupe différentes tribus qui ont chacune une façon de vivre et de penser différente, ainsi que des raisons diverses pour participer aux combats. Leur principal point commun est qu'ils sont tous considérés par les héros comme des ennemis. Sato a tout de même comparé la façon de penser des Banzokus à celle des humains, car ils passent le plus clair de leur temps à s'affronter entre eux.

Quant aux Banshins, les dieux invoqués par les sauvages, ce sont des dieux en lesquels toutes les tribus croient : chaque tribu possède son propre dieu unique. Les renders présents dans le numéro de Famitsu sont décrits comme d'impressionnantes et menaçantes créatures. D'après Sato, l'identité des Banshins est un des plus gros mystères de Final Fantasy XIV.

  
Images issues du dernier numéro de Famitsu

L'empire de Garlemald est décrit comme une "tierce force" qui jouera un rôle en parallèle avec celui des aventuriers et des sauvages mais qui possèdera tout de même une technologie très avancée. L'empire s'est étendu en conquérant de nombreux territoires grâce à sa technologie de pointe.

Pour finir, le magazine pose une dernière question à Sato à propos du mystérieux pouvoir que possèdent les aventuriers, mais la scénariste a simplement répondu que ces informations seront révélées en temps voulu. Il ne nous reste donc plus qu'à attendre de nouveaux détails !