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Android Market

Android Market : plus de 130 000 applications

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Source: Android Police

Distimo publie son rapport sur l'année 2010 qui fût très bonne pour le développement de l'Android Market.

Distimo est une société analysant les différentes boutiques en ligne d'applications selon de nombreux critères tels que le nombre d'applications, leur prix, la part des applications gratuites, etc. Aujourd'hui, elle fait le bilan sur l'année qui vient de s'écouler et qui fût très bonne pour tous.

Tout d'abord, au niveau du nombre d'applications disponibles fin 2010, l'AppStore reste sans aucune surprise à la première place avec environ 300 000 applications, suivi loin derrière par notre petit robot vert au sac en papier qui en compte à peu près 130 000. Arrivent ensuite l'Ovi Store de Nokia avec 25 000 applications puis l'AppWorld de RIM (Blackberry) avec 18 000.
De telles différences s'expliquent facilement par leurs dates d'arrivée dans le secteur de la vente de machines à pets et autres scanners déshabillants ainsi que par la facilité du développement d'applications des différentes plateformes.

Pour ce qui est de la progression, l'Android Market s'en sort de manière magistrale puisque l'année qui vient de s'écouler représente pour lui une hausse du nombre d'applications générale de 544%. Ce qui fait tout de même près de 106 000 nouvelles applications. En comparaison, l'AppStore lui ne génère qu'une "petite" hausse de 111% soit environ 30 000 nouveautés.

distimo-progression-2010

Pour ce qui est du prix moyen des applications en revanche, il est en hausse de 1% sur Android  tandis que l'iOS enregistre de son côté, une baisse de 12%. Le top 100 des applications les plus téléchargées voit quant à lui son prix moyen baisser de 9% sur le Market contre 19% sur le Store, comme quoi la crise est bien partout...

distimo-prix-moyen

A noter enfin qu'AndroLib reportait il y a peu, que le Market dépassait les 200 000 applications. Cette différence s'explique par le fait que Distimo ne se base QUE sur le Market américain tandis qu'AndroLib lui utilise une base mondiale et comptabilise donc certains doublons ainsi que des applications qui ne verront certainement jamais le jour sur nos téléphones européens tel que ce petit jeu disponible en Russie.

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