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gamescom 2018 - PREVIEW - Starlink: Battle for Atlas - Nous avons joué aux versions Switch et Xbox One X

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Une petite mission sur la portable de salon de Nintendo et deux autres sur la console de Microsoft nous ont offert une deuxième occasion de se faire un avis sur le jeu d'Ubisoft.

Starlink: Battle for Atlas est un pari assez osé de la part d'Ubisoft puisqu'il mélange deux genres assez incompatibles à nos yeux et surtout pas très en vogue. C'est, en premier lieu, un jeu d'exploration spatiale (découverte, combats, éléments de RPG...) à la sauce No Man's Sky, mais mieux pensé avec des quêtes dans un monde ouvert avec sept planètes. Ce genre de jeu vise, habituellement, un public plutôt ado/adulte. En second lieu, c'est un Toys-to-Life, genre qui, normalement, vise un public jeune avec des jeux d'action/aventure plutôt linéaires et simples. Si ce mélange nous a interpellés, Laurent Malville, directeur créatif du jeu, nous a expliqué dans une interview en avoir clairement conscience. Il estime que le jeune public de maintenant espère autre chose que de simples jeux d'action/aventure et que Starlink: Battle for Atlas va répondre à cette attente. 

Sincèrement, pour qui aime les jeux d'exploration spatiale et de quêtes, Starlink: Battle for Atlas semble un bon choix.

Quelle que soit la version, le vaisseau-jouet modulaire est attaché sur la manette avec un accessoire dédié et reste en place tout au long des parties. Il est composé de différentes parties amovibles pouvant être changées avec une autre afin de modifier instantanément ses caractéristiques globales. Par exemple, il est possible d'échanger ses ailes avec deux autres (même d'un autre vaisseau) apportant plus de résistance, ou encore de changer d'arme afin d'en mettre une plus adaptée à notre ennemi du moment. Changer de pilote offre aussi du changement, sachant que chacun a une caractéristique unique et des spécificités. Cette façon de personnaliser son vaisseau est très ludique et intuitive. En plus, les pièces sont jolies, mais surtout semblent très solides et devraient pouvoir être manipulées un bon nombre de fois sans craindre de la casse. 

vlcsnap 2018 08 30 23h37m39s200 1Côté univers graphique, c'est mignon et nous sommes ici bien dans un travail fait main loin des décors procéduraux tristounets de No Man's Sky pour ne pas le citer. Côté gameplay, c'est avec une Switch (mode Portable) que nous avons commencé notre première partie de Starlink: Battle for Atlas. Nous n'avons pas pu résister à prendre Fox McCloud et son vaisseau l'Arwing - exclusivité de la version Nintendo - pour nous lancer dans l'aventure. À noter, selon le personnage choisi, les cinématiques s’adaptent et c'est un très bon point. Sinon, nous avons pu voyager en hyperespace entre deux planètes de la galaxie Atlas, participer à une bataille spatiale, puis nous approcher de Haven pour voler en atmosphère, près du sol. Cette planète abrite des plantes géantes et elle est très colorée. L'histoire principale nous invite à suivre des missions distribuées un peu à la manière de Destiny. Ainsi, dans le hub, l'objectif est visible et vous permet toujours de savoir où aller et quoi faire. Nous avons eu, entre autres choses, une mission de recherche d'une raffinerie, des personnes à trouver, des minerais à collecter... Sincèrement, pour qui aime les jeux d'exploration spatiale et de quêtes, Starlink: Battle for Atlas semble un bon choix. 

Nos premières impressions : bonnes ! 

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Au final, pour une première approche libre du jeu sur Nintendo Switch et Xbox One X, nos impressions sont plutôt bonnes. Sur la portable, les graphismes sont fins et aucun ralentissement n'a été constaté. Sur la Xbox One X, rien à signaler, le jeu donne le meilleur de lui-même. La jouabilité, dans les deux cas, est identique. Jouable avec ou sans un vaisseau-jouet, tout un chacun y trouvera son compte sans être obligé de faire un prêt à la banque et, pour un Toys-to-Life, c'est un bon signal envoyé aux parents (et aux grands qui se prendraient au jeu des jouets).

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