TEST - Thief : un jeu qui n'est que l'ombre de lui-même ?

Pour casser un tant soit peu cette "routine", Eidos Montréal a pensé à implémenter un arsenal évolutif, matérialisé par l'opportunité d'acheter des accessoires supplémentaires pour se faciliter la tâche (exemple : une pince pour désactiver les pièges). Dans le même ordre d'idée, les points de Concentration offrent l'opportunité de débloquer/améliorer les compétences de Garrett. Toutefois, il faut bien préciser que ces points étant à même de faire évoluer le gameplay sont loin d'être obligatoires. Autant dire que la quête du voleur se façonne à l'envi.

Thief est l'un des jeux les plus riches en collectibles.

Par ailleurs, le studio a voulu briser le schéma des chapitres s'enfilant comme des perles en mettant en place un hub construit autour du repaire de Garrett. De là, le joueur se balade dans la Cité afin de dénicher tous ses trésors et de débloquer quelques quêtes secondaires. Pour percer tous les secrets de la ville prête à imploser, c'est par là qu'il faudra passer, avec beaucoup de courage tant s'y retrouver est assez pénible.

En revanche, en vous contentant des huit segments appartenant à l'histoire, vous en aurez pour autant d'heures à tout casser (prologue compris). À cette durée de vie s'ajoutent lesdites quêtes secondaires, mais également les quêtes annexes des chapitres. Sans conteste, Thief est l'un des jeux les plus riches en collectibles. Ceux qui adorent chercher en auront pour leur argent.

Enfin, il y a les défis au cas où vous n'en auriez pas encore eu assez. Divisés en trois familles (Razzia, Chasse au trésor spécial et Razzia limitée) sur trois cartes (Northcrest Manor, Maison des pivoines et Asile de Moira), ils s'articulent autour du vol avec chrono et classement, pour se la raconter devant les copains en prime.