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TEST- Everybody's Gone to the Rapture : un chef-d'œuvre exclusif à la PS4 à suivre jusqu'au bout de la lumière

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Everybody's Gone to the Rapture : The Chinese Room nous propose un conte entre romance et science-fiction, pour un résultat à ne pas manquer pour les amateurs d'expériences interactives et d'univers paranormaux.

Par où commencer ? Par les graphismes, époustouflants pour un jeu de cette envergure. Dans Everybody's Gone to the Rapture, le personnage principal c'est avant tout la ville britannique de Yaughton et sa banlieue.

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À la première personne, nous sommes amenés à découvrir un univers rural photoréaliste, avec des variations d'heure et de météo au rendu bluffant. La végétation, très présente, est extrêmement détaillée, même si elle manque parfois un peu de relief, tandis que les textures sont propres et de qualité, sauf peut-être pour l'eau, finalement peu présente dans la région. 

Et même si les ombres ne sont pas toujours très bien définies, avec un échelonnage des contours visibles, ce sont bien les jeux de lumière qui transcendent l'univers, avec des effets visuels variant suivant l'heure de la journée, pour une immersion visuelle sans faille. Le sens du détail, avec des textes directement lisibles sur de nombreux éléments, des objets uniques et originaux répartis sur la carte, est tout aussi épatant. Reste alors le manque de dynamisme de l'environnement, sans vent dans les feuillages ni âme qui vive, qui renforce le sentiment d'être spectateur plutôt qu'acteur, mais qui améliore grandement l'ambiance parfois oppressante de cette ville désertée.

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