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PREVIEW - Total War: ATTILA - Nos impressions après quarante tours

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Total War: ATTILA : En attendant la version finale.

Creative Assembly, nous fait vivre une nouvelle tranche de l’histoire de l’humanité, celle de l’ère d’un des plus grands barbares, à savoir Attila le Hun. Prévu pour le 17 février prochain, Total War: ATTILA compte donc se concentrer principalement sur Attila et ses fameux cavaliers. Ainsi, nous tournons la page sur la croissance de l’Empire romain, qui a atteint son apogée, pour se retrouver dans sa période de déclin. Dans cet opus, il faudra compter sur la présence de 10 factions (les Huns, l'Empire romain d’Occident et d’Orient, l’Empire sassanide, les Vandales, les Wisigoths, les Ostrogoths, les Alains, les Francs et les Saxons), ainsi que trois autres incluses en DLC (les Jutes, les Danois et les Scandinaves).

L'amélioration visuelle profite au réalisme des batailles.

Ltotal war attilaa version preview nous permettait de tester seulement quatre peuples durant 40 tours, mais aussi, et surtout, de découvrir différents styles de jeux avec des nomades tels que les Ostrogoths. Ces derniers doivent se déplacer à cause de l’arrivée imminente d’Attila et d'un empire romain rongé depuis sa séparation en deux, dont l’administration désorganisée n’arrive plus à gérer un territoire immense et possédant peu de force face à la menace grandissante des Huns et des peuples qui tentent de les fuir. De son côté, l’Empire sassanide reste plutôt classique dans son genre.

Dès les premières minutes, nous notons un nouveau lifting de l’interface qui permet d’avoir plus d’informations par rapport au titre précèdent, aussi bien sur la partie construction offrant un aperçu des structures disponibles que sur l’évolution des personnages, visible au travers d’un arbre de compétences permettant de planifier leur évolution. Une amélioration graphique de la carte en général est également à constater, avec des ajouts tels que la météo, des effets visuels pour indiquer la présence de maladie dans les cités, une gestion de la lumière différente selon les régions sur lesquelles nous plaçons la caméra, ainsi que les effets de cette même lumière (exemple : le feu qui peut se propager lors d’incendies).

Cette amélioration visuelle profite au réalisme des batailles qui permettent du coup une meilleure immersion : les unités ont gagné en détail ainsi qu’en fluidité, donnant l’occasion d’observer l’affrontement entre celles-ci comme si nous regardions une scène d’un film. Et nous ne parlerons pas du spectacle qu’offre un siège et les nouvelles possibilités que ce Total War apporte. Citons par exemple la gestion avancée des armes de siège ou encore la possibilité de dresser des barricades pour ralentir la progression adverse. L'intelligence artificielle a l’air plus présente et utilise le terrain pour essayer d’en tirer avantage, mais certains comportements sont encore à revoir. Au niveau des batailles navales il ne vaut mieux pas être un mauvais amiral et il y a une étrange impression de pathfiding avec des bateaux qui ne vont pas forcement là où nous avons demandé. En revanche, ils se retrouvent aborder par un navire ennemi qui, lui, ne se loupe pas.

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