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TEST - GEIO : je suis GEIO, le petit robot, l'ami d'Ulysse...

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Qu’est-ce qui arrive emballé dans un cube de près de 20 cm de côté et qui pèse un kilo ? Le GEIO !

GEIO est un robot gaming conçu par GJS ROBOT. Le concept : le joueur contrôle son robot grâce à une application sur son smartphone ou sa tablette, et peut prendre part à toute une série de mini-jeux, seul ou face à quelques adversaires. Une expérience des plus immersives grâce à sa caméra embarquée !

Côté maniabilité, c’est très réactif, les commandes sont intuitives. À un détail près...

Le déballage révèle plusieurs bonnes surprises : un grand robot, qui semble solide et pèse lourd, une notice simple et illustrée pour la prise en main - mieux qu’un long manuel insipide et mal traduit, et enfin une batterie qui ne nécessite pas de chargeur, grâce à son connecteur USB intégré.

Quand nous avons regardé le robot de plus près, une chose étrange nous a interpellés : les « jambes » ne bougent pas et il y a des roues au bout, pourquoi ne pas avoir fait un modèle « char » alors ? Par contre ce sont des roues holonomes (omnidirectionnelles) ! Cela veut dire que le robot va pouvoir se déplacer dans tous les sens, même latéralement sans pivoter (aka : straffer) !

Pour démarrer le robot, il suffit de télécharger l'application officielle et de se connecter au robot via Wi-Fi, celui-ci étant reconnu comme un point d'accès. À noter que la notice conseille de se connecter au robot avant de s'être procuré le logiciel permettant le contrôle depuis le smartphone... petite erreur dans l’enchainement des taches, rien de méchant.

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L’application propose 8 modes de jeu. Lors de notre première prise en main, assez hasardeuse, nous nous retrouvons en mode « course ». Grosse surprise : le robot se déplace vite ! Et qu’est-ce que c’est que cet éclair en bas de l’écran ? 5 secondes de compte à rebours, et... le robot passe en mode éclair ! Cela va encore plus vite, incroyable !

Côté maniabilité, c’est très réactif, les commandes sont intuitives. À un détail près : le robot se déplace latéralement lorsque nous lui demandons d’aller sur le côté, mais la caméra reste dans l’axe et la tourelle se contrôle par deux autres boutons. Pas évident, sûrement un coup à prendre. En tout cas, c’est prometteur !

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