Riot Games avait prévenu, le ban est définitif, du moins pour la plupart des tricheurs sanctionnés.
Comme tous les développeurs de jeux multijoueurs, qui plus est de FPS compétitifs, Riot Games doit faire face à un fléau : la triche. Nombreux sont les joueurs qui utilisent des logiciels pour améliorer leurs performances (aimbot, wallhack), le studio derrière Valorant a donc mis en place Vanguard, un peu intrusif, mais efficace : près de 9 000 tricheurs ont été bannis pendant la bêta fermée.
Paul Chamberlain, qui s'occupe des tricheurs sur Valorant, s'est entretenu avec IGN récemment et a confirmé les propos récemment tenus par Phillip Koskinas : les tricheurs de la bêta sont toujours bannis malgré le lancement en version 1.0 de Valorant.
Tous les bannissements pour tricherie sont permanents pour le compte. La plupart des bannissements de comptes pour triche sont également assortis d'une interdiction matérielle, ce qui signifie que nous suivons leurs âmes dans le temps et l'espace, et les interdisons à nouveau lorsqu'ils essaient de rentrer dans le jeu avec une fausse moustache.
Riot Games ne rigole donc pas avec les tricheurs, mais explique qu'il analyse ces bannissements et peut parfois décider de réautoriser un joueur à revenir avec son compte sur Valorant, même si cela reste rare. L'idéal est donc de jouer normalement, sans logiciel de triche, pour ne pas avoir d'ennui. Pour rappel, Valorant est disponible uniquement sur PC pour le moment, mais Riot Games envisage déjà une version pour consoles.
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| Clint008 Rédacteur - Testeur |
