Test
the evil within 2 images ban

TEST - The Evil Within 2 : un condensé de survival-horror

par

The Evil Within 2 : Sebastian est de retour dans un monde lugubre, empli de créatures en tout genre.

La prise en main de The Evil Within 2 est instinctive. Notre personnage peut réaliser différentes actions comme courir, sprinter (tout en consommant une barre d'endurance), s’accroupir, ou encore user de diverses armes. Le titre se base sur de l'exploration où nous nous devons de trouver des points stratégiques pour progresser. Chose agréable, de petites missions secondaires sont éparpillées par-ci, par-là pour récupérer des ustensiles qui servent grandement à notre progression.

La prise en main de The Evil Within 2 est instinctive.

The Evil Within 2 2017 06 12 17 005Devant un cadavre ambulant, deux choix s'offrent à nous, le corps-à-corps ou sortir le gun. Les ennemis ont un point faible, la tête, une balle là où il faut, comme il faut, permet de mettre un terme à un conflit. Point à prendre en compte, le gameplay devient capricieux lorsqu’un rival bouge rapidement, et que nous devons gérer la caméra lourdingue bloquée sur l'épaule droite de Sébastien. Cependant, cette « lourdeur » des mouvements apporte un stress supplémentaire durant des phases intenses. Est-ce voulu ? Telle est la grande question…

De plus, il est possible de passer en mode furtif pour surprendre et achever un opposant. Pour faire simple, il faut se cacher derrière un muret et avancer à pas de loup pour exterminer une créature de dos, le tout dans le calme pour éviter d’alarmer les ennemis environnants. Cette technique est primordiale, car les munitions se font rares et doivent être gardées pour des bébêtes plus violentes et dangereuses.

The Evil Within 2 2017 06 12 17 004Le jeu devient trop compliqué ? Pas de panique, notre héros peut récupérer une substance verte sur les corps jonchant le sol, qui peut être échangée contre des compétences indispensables (augmenter la vitalité, l’endurance, la précision de tir, etc.) via un arbre adéquat. Autre point et pas des moindres, le craft. En récupérant quelques broutilles dispersées dans la ville, il est possible de concevoir des munitions, ou encore des seringues de survie. En d’autres termes, tout est là pour avancer avec un minimum d’aisance.

Commenter 2 commentaires

BishopWalter
une histoire proche de The Last of Us


:lol: Bientôt on aura droit au fameux "The Last of us a inventé le genre" ou bien "C'est à The Last of us qu'on doit ça". Ça me rappelle "l'époque" où les gens me disait "mais tu sais c'est la première fois qu'on a une infection au cordyceps sur un être humain, ... jamais vu ailleurs" alors que Fringe sorti avant TLOU nous avait déjà servi un épisode de contamination par le cordyceps.
Signaler Citer
Avatar de l’utilisateur
l_o_l_o_60
C'est vrai que ce jeu reprend beaucoup d'idée des survivals horror déjà sortis auparavant. En même temps c'est pas évident de réolutionné le genre avec tous ce qui a déjà été fait. Perso moi ça ne me gêne pas, étant fan du genre je prend mon pied à parcourir cette nouvelle aventure de Sebastina Castellanos. Du moment que l'histoire est bien foutue, ce qui est le cas ici (à l'heure où j'écrit ces lignes j'en suis au chapitre 5), on a du mal à décrocher, plus on avance, plus on veut en apprendre et ça c'est vraiment un signe de la qualité d'un jeu.
Après il faut bien dire que tout n'est pas parfait comme mentionné dans l'article mais ces petits détails ne sont rien par à rapport à l'ensemble des points positifs du jeu. Donc, oui, si vous aimez le style, foncez c'est du tout bon !
Signaler Citer