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Dying Light logo vignette 12.06.2013.

E3 2013 - PREVIEW - Dying Light : nos premières impressions

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Dying Light : Encore des zombies...

Entre The Walking Dead (adaptations excellentes comme mauvaises), Dead Rising ou encore Dead Island, les zombies ont plus que jamais le vent en poupe sur nos chères consoles, quelles qu’elles soient. Et avec Dying Light en provenance de chez Techland, la donne ne risque pas de changer d’un poil. Qu’à cela ne tienne, l’absence du mot « dead » dans le titre laisse présager quelques écarts par rapport au genre survival à la sauce épidémie. Alors, écarts y a-t-il ?

Dying Light 12.06.2013 (3)Avec sa vue FPS et son monde ouvert (avec des évènements aléatoires), Dying Light se rapproche moins de The Walking Dead (Telltale Games) que de Dead Island. Du reste, il se différencie grandement du gameplay de ce dernier par un feeling davantage similaire à Mirror’s Edge. Oui, oui, vous lisez bien, Mirror’s Edge. Il faut dire que le héros se déplace comme un Yamakasi (via les techniques liées au Parkour), ce qui laisse augurer une pleine liberté de mouvement et quelques associations bien acrobatiques (exemple sauter pour donner un coup de pied). En revanche, et cela en déroutera plus d’un lors des premières minutes, pour bondir il faut bel et bien presser un bouton situé sur la tranche. Le changement c’est maintenant comme dirait l’autre.

Maintenant, pourquoi se déplacer avec le Parkour ? Tout simplement pour échapper à la horde de personnes infectées et enragées, lesquelles n’ont pas l’avantage de pouvoir bouger intelligemment (elles pallient ça très bien avec leur rage). Basiquement, quand il s’agira d’aller d’un point A à un point B, le mieux sera d’opter pour les endroits élevés, histoire de se prémunir de toute mauvaise surprise sur la terre ferme. À ce titre, le personnage principal a la faculté de crapahuter un peu partout, ce qui est plutôt pratique en cas de crise.

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